Casablanca comptait une importante communauté espagnole ainsi que d’imposantes arènes où se déroulaient des corridas fort prisées. Dans les années cinquante et soixante, les plus grands matadors espagnols y sont venus toréer grâce à la ténacité et à l’astuce de son gérant, un Catalan du nom de Vicente Marmaneu qui connaîtra un sort tragique et sa plaza de toros une lente décadence. L’auteur, qui a vécu son enfance dans la Ville blanche, évoque cette Casablanca taurine qui n’est plus…
Auteur : Carlos Belinchon