Les marais de Mésopotamie, entre le Tigre et l’Euphrate, abritent des communautés baptisées Arabes des marais. Pour l’instant à l’abri de la violence endémique et des soubresauts du nouvel Irak, ces populations chiites survivent dans des conditions précaires. Leur cadre de vie qui les protège dépend de la qualité de l’eau et du débit des deux fleuves, tous deux menacés par une sécheresse persistance et la pollution.
Auteur : Récit et photographies d’Émilienne Malfatto